mardi 25 janvier 2011

Critique de "S'embrasent" de Luc Tartar

De manière générale, nous n'avons pas aimé cette pièce. En effet, plusieurs éléments rendent difficiles la lecture et la compréhension de la pièce. Premièrement, il n'est jamais précisé qui parle. Cela est certainement voulu par l'auteur, mais il est parfois difficile de cerner quel personnage est en train de s'exprimer. Deuxièmement, pendant une grosse partie de la pièce, il n'y a que peu ou pas du tout de signes de ponctuation. Ceci rend la lecture rapide et il est parfois difficile de s'accrocher. De plus, nous avons pu déceler de nombreuses répétitions de phrases. Cela ne rend pas non plus facile la lecture de la pièce. Nous trouvons aussi que la présence de nombreux longs monologues, pouvant facilement être résumés en une phrase, peut parfois fatiguer et ennuyer le lecteur.
Malgré ces nombreux points négatifs, nous avons tout de même noté quelques points positifs. Tout d'abord, le thème. En effet, l'amour a beau être un thème passe-partout, il a toujours la cote auprès des adolescents. Ensuite, nous avons trouvé sympathique l'écriture fort poétique de l'auteur.
Enfin, le passage que nous avons préféré, et que nous conseillons de lire, est le prologue de la pièce. Nous l'avons trouvé extrêmement bien écrit et pensons que c'est une excellente introduction au thème de l'amour.

Critique réalisée par Maria-Grazia Liotta, Maxime Bastin, Pierre Lefèvre, Jean-Loup Wawryk et Antoine Renard, élèves de 5G de l'Athénée Royal Marche-Bomal.

2 commentaires:

  1. Merci pour cette critique. Il est intéressant de constater que même si vous n'avez pas aimé la pièce, vous avez tout de même essayé d'en relever les points forts.

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  2. Merci pour vos avis. Le coup de foudre vécu par Jonathan et Latifa est un événement fort qui bouleverse leurs vies, le monde... et le texte aussi ! J'ai essayé d'inventer une forme particulière : c'est le groupe qui parle (les adolescents) et ça va vite, une fulgurance, comme un éclair dans le ciel, un embrasement... J'ai essayé de mettre dans cette pièce de l'énergie, de la joie de vivre. Luc Tartar

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